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Vu au macroscope 3
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  • Petite revue d'actualités sur des sujets divers: géopolitique, économie, santé etc.... Le titre est inspiré de l'ouvrage de Joël de Rosnay : "le macroscope - Vers une vision globale" - 1er février 1977 Une introduction à l'étude des systèmes complexes.
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1 mai 2019

Les raisons occultes de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris

 
Cet article a pour but de souligner l’importance ésotérique de cet édifice et de PARIS d’une manière générale afin de donner quelques éléments de réflexion sur les buts recherchés de ce (très) probable «attentat à la conscience collective» organisé par l’état profond / la Cabale. Vous êtes les bienvenu(e)s pour compléter ceci.

 

Avant de commencer l’article je vous invite fortement si cela n’a pas été fait par le passé à lire ce premier article pour bien assimiler les informations sur le culte de la Déesse et le féminin sacré qui en découle : https://exoportail.com/le-feminin-sacre-et-la-sororite-de-la-rose/

Le culte d’ISIS au cœur de paris :

Les origines doivent être recherchées dans l’Antiquité. Les Mystères de la Grèce et de l’Égypte possédaient dans leurs rites d’initiation les mêmes préceptes dont le plus important était gravé sur la principale porte du Temple de Delphes. Le nom de la capitale de la France viendrait de cette grande figure du panthéon égyptien. PARIS découlerait de BAR-ISIS (la barque d’Isis), parce que la première représentation de la Dame en Noir serait arrivée sur un navire remontant la Seine jusqu’à l’île de la Cité.

Cela expliquerait, de plus, pourquoi le blason de la ville porte un bateau dans ses armes. Evidemment cela n’est pas l’explication officielle. Paris a incontestablement deux histoires. Celle que l’on apprend dans les manuels ou les guides touristiques et l’autre, aussi vieille que la ville, celle des événements insolites, des sortilèges et des messes en secret. Cette «Dame en Noir» n’est absolument pas une africaine, le culte de la Reine Mère n’est pas exclusif de l’Afrique, mais elle est voilée d’un tissus de couleur noir comme une veuve qui a perdu son enfant.

Devise sur la statue de la déesse Isis / Selkis voilée

 

Les anciennes chartes de Sainte-Geneviève et de Saint-Germain-des-Prés en font mention. Elles disent que CLOVIS et CHILDEBERT, leurs fondateurs, leur ont assigné les dépouilles d’ ISIS et de son temple. Il est souvent signifié, dans les chroniques les plus anciennes de la capitale, qu’ ISIS, maîtresse de la doctrine ésotérique et de tous les arts de la magie, a été vénérée à PARIS soit d’abord dans l’île de la Cité même, à l’emplacement de NOTRE-DAME, soit sur les lieux où fut édifiée par la suite l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés.

Le moine Abbon, de ce cloître, considère ISIS comme la première protectrice des Parisiens dans un poème écrit au lXe siècle sur le siège de la ville par les Normands. D’ailleurs, le maître d’oeuvre de la cathédrale n’omettra point par la suite de la représenter en bonne place, au portail Sainte-Anne, sous les traits d’une femme portant le thyrse. La Vierge, autre Grande Mère mythique, n’aurait donc fait que remplacer la magicienne de la vallée du Nil.

L’Egyptien de la fontaine de la rue de Sèvres

 

Le Culte d’ISIS en Europe (Herculanum, peinture murale, 1er siècle après J-C (Musée National de Naples)

 

Un des sphinx de la fontaine du Châtelet à Paris

 

Ce n’est pas aussi simple. En effet, la première culture du paléolithique supérieur est l’Aurignacien, qui s’étend de 35.000 à 20.000 av. J.-C. Les oeuvres marquantes de cette période (avec toutes ses sous-périodes) sont les célèbres fresques de Lascaux d’une part, et les « VENUS » stéatopyges de La Gravelle d’autre part. La Vénus de Voronej est datée stylistiquement du paléolithique supérieur autour de 29.000 AV JC. L’Egypte ne serait donc qu’un passage et la continuation des anciens cultes.

Les cartes du haut moyen-âge mentionnent le PARISIS à savoir en gros une large zone concentrique comprenant l’antique Lutèce, et CESAR mentionne le peuple dit des parisii. De ce nom donné par CESAR, on nomma ensuite la ville qui se nomma du temps de l’hégémonie celte, d’un nom noté Lutèce en Latin mais dont nous avons tout lieu de penser qu’il associait le nom de Lug et celui de la Séquana, nom celte de la Seine.

CESAR parle d’un culte rendu à ISIS, déesse égyptienne, à l’embouchure de la Loire, c’est à dire non loin de la Seine. Il est possible que des grecs ayant navigué et exploré de nombreuses région, aient adopté le culte d’ ISIS, plutôt que des celtes aient adopté un tel culte. Des éléments étrangers avaient introduits en Gaule, du côté de l’embouchure de la LOIRE le culte des mystères d’ ISIS, ensuite retrouvé dans la région de LUTECE.

La Pyramide du Louvre, Constellation des Poissons

 

Alignement du Louvre aux Arches en passant par l’Obelisque. Route solaire / Ecliptique

 

L’Arche Royale et son nuage dans le quartier de la Défense

 

Le nom des PARISII ne sonne pas du tout CELTE, il est probable que le peuple installé dans cette région soit le même que celui installé au plateau de Langres : les lingons. César devint-il adepte du culte d’ISIS ? A partir de 48, lorsqu’il annexa l’Egypte à l’empire romain et devint amant de Cléopâtre.

CESAR avait justement une compagne gauloise au pays des lingons, compagne dont il eut un fils qu’il reconnut, ce qui lui donnera un arrière-petit-fils qui n’est autre que Sabinus (passé dans la légende avec son épouse Epona, du fait de leur amour) , qui fomentera une révolte contre Rome sous l’empereur Vespasien. Ce serait donc bien CESAR qui aurait fondé le culte d’ ISIS en Gaule, et l’aurait implanté à Lutèce, donnant à la zone comprenant Lutèce, un nom évoquant ISIS. Le nom de Paris vient donc du culte d’ ISIS.

Tête du Faucon / Phénix des buttes Chaumont

 

Croix Egyptienne ANKH en plein cœur de Paris

 

Tombeau de Napoléon en forme de Sarcophage

 

Ainsi, le nom même de la ville de Paris semble provenir de ce lien avec ISIS. Selon le professeur Pierre Hubac qui reprend une certitude napoléonienne, «Le nom même de Parisii pourrait bien signifier  » TEMPLE D’ISIS « , car il existait au bord du Nil une citée de ce nom et l’hiéroglyphe per figure sur l’enceinte d’un Temple de l’Oise». En fait, comme le souligne le professeur Cheikh Anta Diop, les premiers habitants du lieu actuel où se trouvent Paris, la capitale de la France, portaient le nom de PARISII, sans raisons apparentes :

«Le culte d’Isis, comme on le voit, était très répandu en France, en particulier dans le Bassin Parisien ; il y avait partout des Temples d’Isis, selon la terminologie occidentale, mais il serait plus exact de dire « Maison d’Isis », car des dits temples étaient appelé en égyptien « Per », lequel mot signifie exactement en égyptien ancien, comme en valaf actuel, l’enclos qui entoure la maison. Paris résulterait de la juxtaposition de PER-ISIS, mot qui désigne effectivement des villes d’Egypte, comme le remarque Hubac» (d’après l’historien G. Maspéro).

 

Statue de la liberté à Paris. Ishtar / Vénus

 

Représentation de HATHOR (cours carrée du Musée du Louvre)

 

Projet de la Tour Triangle des Poissons (quartier de la Défense à Paris)

 

Il existe en france, une très longue tradition orale,écrite et réligieuse, associant l’origine du nom « PARIS » au nom de la déesse ISIS.Cette tradition affirme que le 1er site réligieux sur Paris, fut un temple d ISIS, sur la rive gauche de la seine (Saint-germain des près). Le 2ème temple serait celui du dieu THOT(Hermes / Mercure) sur l’actuel rue saint-jacques. ISIS et THOT étaient considérés comme les «messagers des dieux» et des «gardiens des carrefours».

On rencontrait fréquemment leur image a la croisé des chemins, et dans les forets. Un temple d’ ISIS serait devenu l’actuelle église de saint-germain-des près. Le temple de THOT serait devenu l’eglise de Notre Dame des champs. Il existerait aussi un Temple dédié à OSIRIS (Jupiter).

Une grande statue d’ ISIS sur sa barque fut longtemps conservée dans l’église Saint-Germain-des-Prés, jusqu’à ce qu’un prêtre la détruise à coup de pioche au 18ème siècle. La nef ornant les armoiries de la ville de Paris ne serait autre que la barque d’Isis, tandis que la devise de la ville « Fluctua Nec Mergitur » rappellerait la navigation héroïque des suivants d’ HORUS, mais aussi celles des initiés circulant dans le secret des temples. Les touristes curieux seront donc étonnés de trouver dans une cour de la rue du Cherche-Midi, un sphinx verdâtre à tête de femme, vestiges du culte d’ ISIS pratiqué à Paris.

 

Notre-Dame de Paris était l’emplacement du temple d’Isis à l’époque romaine :

En 1163, le site du Temple d’Isis sera le lieu de la construction de Notre-Dame de Paris, devenue «l’église parisienne des rois d’Europe». La statue originale d’Isis a été conservée à l’abbaye Saint-Germain jusqu’en 1514, date à laquelle l’archevêque de Meaux la fit détruire.

Les archéologues modernes confirment que cet endroit a été le premier site découvert sous le règne de l’empereur romain Auguste (27 av. J.-C. 14 ap. J.-C.), ce qui en fait essentiellement un lieu fondé sous l’Empire romain et la Pax Romana, qui a presque toujours été gouverné par un envoyé de César.

Le 10 novembre 1793, il y eut une activation de la «Déesse de la raison et de la liberté» dans l’église Notre-Dame de Paris :

Paris, France — La Déesse de la Raison transportée dans les rues de Paris.

C’est ce jour-là, le 10 novembre 1793, que la Convention révolutionnaire française proclame l’investiture d’une déesse de la raison et d’un nouveau culte parrainé par l’Etat destiné à remplacer le christianisme catholique. L’image de la divinité a été installée sur le grand autel de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

De courte durée, le culte athée de la déesse fut supprimé sur ordre de Maximillien Robespierre, qui était lui-même un déiste, et qui voulait un culte de l’être suprême au lieu du culte athée de la raison…

Mais aujourd’hui encore, il existe toujours un groupement ésotérique de la capitale qui affirme être en possession du savoir druidique depuis les premières décennies de notre ère. A dates fixes, ses membres, par ailleurs gens en place et hauts responsables, se réunissent dans la crypte de Notre-Dame, où l’on a jadis adoré les dieux celtes. D’autres groupes initiatiques à Paris se réclament de la magicienne, qui fut peut-être la déesse tutélaire de la ville.

 

Conclusion et spéculations :

Les raisons de cet événement sont donc très probablement :

1 ) Détruire un lieu dont dont les fondamentaux (infiltré par la suite) ont à voir avec l’ancrage d’énergie de la Déesse et du féminin sacré qui sont les ennemis numéro 1 de la Cabale multimillénaire.

2 ) Empêcher certains groupes initiés aux mystères de la Déesse, qui se réunissent encore aujourd’hui, de pratiquer certains rituels dans Notre-Dame.

3 ) Une atteinte énergétique à la conscience collective amplifié par les médias. Il suffit de voir comment beaucoup de gens sont en «état de choc» même parmi les athées et même pour les gens à qui cela ne «représente que des briques»

4 ) Une diversion politique au moment ou la farce du «grand débat» se termine. Permettant un simulacre compassionnel de Macron pour ré hausser son «capital sympathie»

D’autres raisons ou orientations de réflexion arriveront surement par les meilleures sources habituelles ( Cobra et autre ) qui pourront sans doute nous éclairer.

Rappelons que la mosquée al-Aqsa à Jérusalem a brûlé en même temps que Notre-Dame de Paris.

L’état profond / Cabale devient complètement folle à mesure que leurs plans subissent échec sur échec (Syrie, Ukraine, Venezuela, Russie, perte d’influence en Europe, nouveau système financier de l’est qui émerge etc) Mais ce genre d’événement doit être pris pour ce qu’il est à savoir des actes désespérés et une panique annonçant une chute très prochaine.

Source : http://secretebase.free.fr/complots/edifices/paris/paris.htm et https://gnosticwarrior.com/the-parisii-of-isis.htm l+ Ajouts personnels

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Commentaires
O
Vous, vous êtes sacrément atteint ....
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