17/08/2019 // facebook

Alain Benajam

La gauche du capital.
Dans la guerre hybride (selon Clausewitz) que mènent les forces que l'on peut appeler impérialistes, mondialistes, financières, enfin l'axe Pentagone, La City, avec tous ses périphériques. Cette guerre sans fin menée contre les peuples et les nations libres possède une avant garde idéologique aujourd'hui bien descriptible que certains ont coutume d'appeler la gauche. On reconnait cette néo gauche embarquée dans le combat contre les peuples depuis 1947 à l'exception du PCF lui même rallié plus tardivement avec le Programme Commun.
Jusqu’à présent la gauche a essayé de faire illusion en se mêlant à des combats sociaux périphériques sans lendemain. Puis ses thèmes ne sont devenus que sociétaux, son travail assigné par les maîtres du grand pouvoir était la destructions des solidarités devant laisser les peuples sans défense comme les nations, les lois, les structures familiales, en faisant la promotion de l'hédonisme, du plaisir rapide, de l'homosexualité, de la submersion migratoire, de la pédophilie.
En matière de solidarité internationale cette néo gauche a remplacé le combat anti impérialiste comme du temps de la guerre du Vietnam par des actions de soutien aux actions de déstabilisation des nations insoumises que l'on a appelé "révolutions colorées" que l'on a vu fleurir un peu partout, "révolution" devant se transformer rapidement en conflit sanglant en cas de résistance. Ainsi cette gauche prit le parti des forces terroristes conduites par l'impérialisme en Libye, en Syrie, en Ukraine, au Yémen maintenant au Venezuela.
Les trois grands pays a soumettre maintenant, tâches très difficile, sont l'Iran, la Russie et la Chine. Dans ces trois pays des actions conjointes de déstabilisations sont menées avec comme d'habitude le soutien idéologique et médiatique de cette gauche du capital.
Ne nous y trompons pas si un jours les français en colère avec notamment les Gilets Jaunes parvenaient à se débarrasser de la clique mondialiste qui tient fermement le pouvoir avec ses flics et sa justice bidon, nous aurions contre nous cette gauche qui serait abondamment financées par les voies habituelles passant de la CIA à la NED de la NED au CANVAS puis directement aux organisations mises en place en France depuis Nuit Debout.
Nous pouvons aisément reconnaître ces organisations par leur phraséologie directement importée de la CIA: théoriciens du complot, fachosphère, antisémites, rouges bruns. Aujourd'hui ils tentent de dérouter le mouvement Gilets Jaunes dans une solidarités avec les mafieux chinois de Hong Kong. cela ne change pas depuis la Libye qui a abouti au désastre que l'on connait.
Cette gauche du capital c'est bien la gauche du mal.

La gauche du capital - par Alain BENAJAM

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