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  • Petite revue d'actualités sur des sujets divers: géopolitique, économie, santé etc.... Le titre est inspiré de l'ouvrage de Joël de Rosnay : "le macroscope - Vers une vision globale" - 1er février 1977 Une introduction à l'étude des systèmes complexes.
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13 avril 2019

Équateur: l’ex-Président Rafael CORREA, qui avait accordé l’asile à Assange et qui blâme Moreno, bloqué sur Facebook

Équateur: l’ex-Président qui avait accordé l’asile à Assange bloqué sur Facebook
© REUTERS / Peter Nicholls
 13.04.2019 //SPUTNIKNEWS

L’ex-Président équatorien Rafael Correa a déclaré que sa page Facebook avait été bloquée après qu’il a critiqué le Président en exercice, Lenin Moreno, pour avoir retiré l’asile diplomatique au fondateur de WikiLeaks, Julian Assange.

Le Président de l'Équateur de 2007 à 2017, Rafael Correa, a annoncé via Twitter que son compte Facebook avait été bloqué après qu'il a critiqué le Président en exercice, Lenin Moreno, pour avoir retiré l'asile à Julian Assange.

«Ils ont bloqué ma page Facebook avec 1,5 million d'abonnés. Un nouveau pas dans la persécution brutale et une nouvelle manifestation de désespoir face à l'affaire INA papers à laquelle Moreno le corrompu ne pourra pas échapper. Pour cette seule raison, j'annoncerai une nouvelle page. Ne pas croire les "fakes"», a-t-il écrit.

M. Correa avait précédemment déclaré que la décision du chef de l'État Lenin Moreno de priver d'asile Julian Assange était une trahison.

Le 11 avril le Président équatorien, Lenin Moreno, a déclaré que Quito avait bien retiré à Julian Assange son statut d'asile diplomatique en raison de violations répétées des conventions internationales.

 

Réfugié depuis 2012 à l'ambassade d'Équateur à Londres, le fondateur du site WikiLeaks, Julian Assange, a été arrêté le même jour. Selon Wikileaks, l'ambassadeur équatorien a «invité» la police pour l'arrêter.

 

S'il est extradé vers les États-Unis, Julian Assange pourrait être condamné à la peine de mort pour la publication de documents secrets, estiment certains experts. Toutefois, selon le ministère de la Justice des États-Unis, il n'encourt que jusqu'à 5 ans de prison.

Le Président équatorien, Lenin Moreno, a déclaré que Londres lui avait garanti qu'il ne serait pas extradé vers les États-Unis où il pourrait être exposé à la torture, voire même être condamné à la peine capitale.

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